Seitle...Un féca pas comme les autres! [Entretien Passé : Accepté.]

Bon, commençons mon histoire : J'étais allongé contre un arbre, Dans les champs de bonta, l'orge vert foncé, se dressait devant moi, attendant qu'un paysan vienne le couper.

J'avais quelques bouts de blop près de moi, un de chaque couleur, je trempais mon pinceau en poils de firefoux soigneusement dans le bout de blop indigo.
Je le repris puis continuais de peindre mon tableau, j'étais dans une flaque d'eau, près d'un gelutin.
Ma Dragodinde Orchidée, se nourrissait des petites herbes qu'elle trouvait un peu partout.
Je me leva, passa ma main sur mes cheveux et m’exclamai:

-Ah, encore plus doux! Bon, il est temps de m’en aller, il va bientôt faire nuit.
C’est la où je vais vous décrire ce que je suis, mon caractère etc.…

Seitle, Disciple de la déesse Féca, je suis plutôt un maître du feu, et parfois des dagues, comme certain l’auront su, j’ai des cheveux totalement splendides, certain disent qu’ils sont des cheveux en soie. Quel mauvais gout ! Ils valent bien plus qu’un tissu, mais bon, si vous osez vous m’attaquer a un seul de mes cheveux, vous serez morts avant de vous apercevoir que c’est vos funérailles. Je porte des habits normaux, avec des obvijevans, comme coiffe et cape, bavards, mais je les ai hérité de … Mes parents, c’est le seul souvenir que j’ai encore d’eux, sinon je m’en aurais débarrassé bien avant, Pour du reste, j’évite de tout dire qui peu révéler un minimum sur mes combats, ou mon passé.

Je montai sur le dos de ma dragodinde, et me dirigeais vers la porte de bonta au sud.Les paysans revenaient de leur longue journée, fatigués, avec leurs gros sacs de Toutes céréales en tout genre, qu’ils ramènent à leurs réserves. On voyait aussi certains enfants, imprudents s’approcher des bois de linteg, attendu par les mulous affamés.

J’étais enfin arrivé à la porte, je saluais le gardes d’un signe de main, ils firent de même, je connaissais très bien ces gardiens, vu que je les voyais chaque jour, ils connaissaient la totalité des habitant de cette ville, vu que c’est le principal passage des Commerçants d’astrub.
Plusieurs quartiers passés, j’arrivais enfin a ma maison. Je mis la dragodinde dans l’enclos, puis ouvris la porte, avançai lentement, je pris une flamme dans ma main et allumai les bougies.

Quel bien de se sentir chez soi ! Je sortis mes affaires de mon sac, puis les rangea dans une étagère. Il me fallait quelques kamas pour aller à la taverne, habituellement je gardais une petite somme dans le grenier au cas ou la banque était fermée, ou j’aurais besoin de kamas d’urgence.
Je montais les escaliers, puis arrivais au grenier, je m’avançais un peu, puis cherchais dans le coffre le petit sac. Soudain, j’entendis un bruit, un grabuge, qui venait de l’autre côté, je me retournai, le son se répéta encore une fois, qu’est ce que c’était ?

Je m’approchai de la source su bruit, tout en prenant soin de sortir mes dagues au besoin, je vis alors une queue rouge et blanche, qui se balançait de droite à gauche, et de gauche à droite.
Je lançais alors une petite flamme sur cette dernière, une créature alors sursauta.

-Ahhhhhh, fit-elle.
Avec sa queue enflammée, elle fit le tour du grenier, et commença a éteindre le feu.
C’était une petite créature ailée, d’un mètre environs, Blanche et rouge, avec un gros visage, une queue, des petites mains, et des pieds de monstre.

-Non, je veux dire, Grrrrrrrrr !

La créature s’envola à travers la fenêtre Qu’est ce que c’était ? Un dragon ? Un tofu plus évolué ? La curiosité me poussait à aller chercher les origines de cette créature.

-Pas de Taverne aujourd’hui, j’ai du boulot qui m’attend.

J’éteignis les lumières, puis sorti en prenant soin de fermer la porte après. J’avançais vers l’enclos, quand je vis la créature tournoyer au dessus de moi, je lançai alors une flamme qu’il esquiva de justesse, puis lança une petite feuille en papier, qui tomba comme par magie dans mes mains.
Je l’ouvris, puis aperçu une écriture, ou plutôt un gribouillis, après avoir resté quelques secondes a le déchiffrer, c’était une carte des bois de linteg, avec une partie brulée, qui devait montrer surement l’endroit où je devais me rendre.

Je pris ma monture, après l’avoir réveillé de son sommeil, il faisait déjà nuit, et là où j’allais, c’était un détail des plus important, la nuit de linteg était bien connue pour les voleurs, cambrioleurs, ou même meurtriers, bien expérimenté, je jugeais alors qu’il serais important de prendre les meilleures fioles de soin que j’avais dans mon armoire à potions.

Je sortis, les mains chargées de sacs de provision, fioles de soins, et armes. J’en aurais surement besoin, je disposai le tout dans les sacs accrochés a la selle de ma monture, peut-être que garder des soins dans ma poche serait bien plus sage. Je monta la monture, puis partit vers ma direction, les bois de linteg !

…Quelques heures plus tard…

Je me trouvais enfin, dans le début, de cette forêt maléfique, elle me rappelait tant de souvenir, ma « transformation », mais je parlerais de ça plus tard peut-être.
La lueur de la lune éclairait a travers le feuillage épais la route tracée par les passagers. Je Pris alors la carte de ma poche, puis l’ouvris, la partie brulée émettait une petite lueur bleue, de la magie de dragons ? Je constatais que la lueur devenait de plus en plus forte, à mesure que je m’approchais de l’endroit.
Soudain, J’aperçu une ombre, puis d’autres qui la suivaient, j’eu un frisson, quand a ma dragodinde, elle était terrorisée, je me demande pourquoi j’avais eu la malchance de prendre la plus peureuse d’entre elles quand j’allais l’acheter.

Je m’avançais, faisant mine de rien avoir aperçu. Tout à coup, un troll, grand comme un immeuble, se mit dans ma route, avec son marteau plein de sang, il lança un cri assourdissant.

C’était la première fois que je voyais un troll de si près, la créature pouvait tuer une personne avec un simple coup de poing, mais je n’étais pas une simple personne. Je descendis de a dragodinde terrifiée, qui d’ailleurs s’enfuit avec tout ce qu’il y avait dedans, je savais qu’elle allait rentrer à la maison saine et sauve, elle avait appris la route, mais je n’étais pas si sur pour moi.

-Tu est cuit, fit ma coiffe obvijevant, on aurait préféré avoir un meilleur maître nous.

Je n’avais plus que mes dagues rhumes en arme efficace, espérons que mes armures me sauverons encore une fois. Je n’avais plus qu’a foncer, le point faible des troll était leur colonne vertébrale, une simple attaque pourrais le neutraliser.
Je savais qu’une cervelle de troll n’était pas plus grande que celle d’un iop, donc il ne connaissait que foncer dans le tas, je pris mes dagues, puis invoqua un chafer devant lui, la créature ne savait pas d’où il venait, je pris ce moment d’inattention pour me téléporter derrière elle, puis lui enfoncer les dagues dans le dos, puis la ressortit. Il se retourna puis écrasa son marteau contre moi, il était trop rapide, mais mes armures ont réussi a me protéger avant de se dissiper. Il ouvra grand la bouche quand j’eu une envie folle, je lui envoya une grosse flamme dans la bouche, il l’avala, et s’étouffa avec, puis tomba, incontinent.

Je me nettoyai les mains, puis rangea les dagues.

-Tu disais coiffe ? fit-je en souriant.

C’est la ou le problème commença, je n’avais pas prêté assez d’attention au cri du troll, il avait appelé un « ami », c’était un mulou, qui m’a pris par surprise pour m’attaquer le dos avec ses griffes, une grosse blessure apparut.

-Aiie ! Gémit la cape. Qui se régénéra aussitôt.
-Je disais qu’il nous fallait quelqu’un plus compétant. Remarqua la coiffe.

Je me retournais, plein de rage, il ne fallait jamais baisser sa garde, c’est ce que j’ai appris au long de mon voyage, mais l’histoire de la créature occupait une grande partie de ma concentration, j’envoyais alors deux boules de feu brulantes vers le mulou, qui partit en courant essayant d’éteindre le feu.

-Bon, nous devons aller... Aie, cette blessure fait tellement mal, fis-je.

Je n’avais pas de potions pour les blessures, ces dernières sont restée dans le sac de ma dragodinde, je comptais aussi sur mes armures, qui mon lâchées au dernier moment. J’avançais, j’avais un peu mal, mais je pouvais résister. J’étais bientôt arrivé.
Quelques minutes plus tard, j’étais arrivé à l’endroit précisé. Mais je ne voyais ni entrée, ni sortie. Je pris la carte qui scintillait énormément, je relevais mes yeux, et vis une grotte, qui apparut de nulle part, mystérieusement. Je pénétrais dans la grotte, quand je vis une porte de roche, qui s’ouvrit automatiquement, puis se referma après moi.

-C’est pas très net ça, fit la cape avec un air de Sherkol Homel, un grand détective.

Je vis alors, la créature qui s’était introduite dans ma maison.

-Ah, enfin tu est là, j’aurais cru que tu n’allais jamais arriver !s’exclama-t-elle.
-Hein, qu’est ce que… ? Fis-je
-Désolée, je ne me suis pas présentée, Je suis Dikarlat, un dragon, comme tu t’en doutes, ce n’est pas cela la raison pour la quelle je t’ai amené ici pour une raison, mais avant tout, je dois te présenter l’histoire comme elle l’est.
-Oui, j’espère bien… fis-je.
-Depuis le jour ou ce monde fut créé, les dragons on décidé de nous mettre dans une dimension spéciale, ce ci a cause des conflits qui furent entre les deux mondes. Le jour où les dofus furent volés, un passage, fermé par ces derniers fut ouvert, permettant a ces créatures d’entrer dans votre monde par plusieurs portails se trouvant dans tout le monde des douze, d’autres ont préféré rester ici, et pour maintenir les humain de trouver ces ouvertures, quelques dragons on été choisi, par leur force spirituelle, pour maintenir ces portails invisibles aux yeux des humains, mais le dragon qui cache celui-ci, fut à court de pouvoir, il ne pu résister a un choc, vu qu’il était déjà malade, je n’ai trouvé alors que vous, qui maîtrisez assez le pouvoir du feu, pour pouvoir le sauver.
-Oui, je veux bien, mais qu’est ce qui me dit que vous dîtes vrai, ou vous essayer de me piéger, et comment être sur de soigner votre chef ? Demandais-je.
-Si vous ne me croyez pas. Suivez-moi….

Le dragon partit alors, je ne voyait pas où il allait c’était une grotte totalement vide, peut-être que je n’aurais pas du lui faire confiance ? Mais il est trop tard, je lui suivi, puis nous passâmes par magie un des murs de la grotte pour nous retrouver dans un monde totalement parallèle, c’était les créatures qui y régnaient, j’en voyais loin, par dizaines, non, centaines, ils étaient heureux, sains, sans bataille ni problèmes, il y’en avait de petits près de moi, verts rouges, bleu, comme des shigelax, j’aurais aimé en prendre, en manger, mais je savais que c’étaient des créatures vivantes, et surtout, innocentes.

-Maintenant je veux bien te croire.
-Suis moi, il faut que je te montre ou se trouve mon père.
-Kuiiiik, fit une de ces créatures bleu, surement pour me souhaiter la bienvenue.
Je suivais encore le dragon, son père ? C’était donc pour ça qu’il m’avait appelé.
Nous nous arrêtâmes devant un centaure bleu, avec une queue rouge, et deux cornes bien longues, des mains puissantes, et des dents blanches.
-C’est cet humain que tu as apporté pour nous sauver ? dit-il, Je ferais mieux de faire mes bagages.
-Laisse lui au moins une chance, fit Dikarlat, je suis sur qu’il pourra.
-Comme tu veux. Abondonna le centaure.
Il tapa dans ses mains, puis un porte en pierre s’écarte pour laisser une entrée vers une salle, avec un ruisseau d’eau, des plantes vertes un peu partout dont des étincelles blanches sortaient. Au milieu de la salle, un grosse pierre de granit se trouvait. Sur cette dernière, Un dragon, un peu plus grand que ce dernier, il avait une moustache noire, des poils blancs dans l’extrémité de sa queue.
-C’est lui ton père, demandais-je .
-Oui, ça fait Deux jours qu’il est comme ça.
-Et la je dois faire ?
-Donne lui un peu de la force de feu, il devrait s’en remettre.

J’approchais la créature tandis que Dikarlat s’éloignait. Je mis mes mains sur son ventre, puis ferma les yeux et essaya de faire sortir le pouvoir du feu en moi, quand je sentis soudain un petit picotement au niveau de mes mains, je rouvris ou œil pour voir, des étincelles rouges, sortaient de mes mains pour s’incruster directement dans le corps du dragon.
Je voyais la puissance en moi s’éteindre peu a peu, puis, arriver au corps du dragon, le nourrissant de puissance et de force, cette opération était bien plus difficile que certains le croient, en fait, il fallait se concentrer le plus possible pour laisser un énérgie s’échapper au lieu d’une attaque, et un petit moment de faiblisse aurait pu nous tuer tout les deux.
Je sentis alors la procédure se terminer, je lâcha prise, puis m’éloigna, nous attendîmes alors qu’il donne un signe de vie. Il ouvrit un de ses yeux, bleu comme l’océan, je vis un sourire se dessiner sur le visage de Dikarlat. Puis ferma mes yeux, et m’évanouis. Ma blessure ! Je l’avais totalement oubliée.

*Un moment indéterminé plus tard*

J’ouvris peu à peu les yeux, je vis alors une étagère en bois, éclairée par la lumière du jour, qui pénétrait de la fenêtre, j’entendis alors les pious gazouiller dehors, j’étais dans ma maison, sur me lit, je me levai, pris mes bottes animales et sortit de la maison en vitesse, laissant ma coiffe et ma cape obvijevan ronfler tranquillement dans un sac.
Je franchis la porte, puis vis ma dragodinde qui dort aussi dans l’enclos, je me souvins alors d’un dragon ancestral, d’une grotte, qu’est ce que c‘était ? Un rêve ? Surement, je retournais dans ma demeure, puis m’installa sur le lit, je me sentais faible, et j’avais besoin de reprendre des forces, je senti une douleur dans mon dos, c’est là ou j’eu un flashback, de tout ce qui s’est passé, j’étais sur, ce n’étais pas un rêve.
Je ressortis encore une fois, je levais les yeux dans le ciel, et vis une créature tournoyer dans les airs, je l’avais déjà vu quelque part, je vis alors un objet scintiller dans la poche de mon pantalon, je sortis alors un papier, ou il y avait écrit : Merci.
Je me suis alors souvenu de tout, du monde que j’avais vu, de tout le reste, je relevais la tête dans les airs, Dikarlat avait disparu.
Depuis ce jour, je fus décidé a explorer le monde, pour retrouver tout les mystères cachés de ce monde, et pour y parvenir, j’avais beosin d’une aide, l’aide des Mercenaires.
Donc je ne crois ne crois pas que vous auriez besoin de plus de renseignement.
Je posa ma candidature dans une affiche, la colla avec de la kole, puis bu une potion bonta, vers ma maison.


Nom: Seitle
Âge : 16 ans.
Profession :Chasseur de têtes/
Défauts : Adore ses cheveux soyeux.
Curieux.
Quand il je me met en colère, difficile de m'arrêter.

Qualités:Puissance quand je suis en colère.
Curieux.
Cheveux doux et soyeux.
But : Découvrir les mystères et créatures de ce monde.
[/b][i[/i]

Ce soir là, Agnator rentrait de la chasse, il était épuisé, courir après des tofus, ce n'était vraiment pas sa chope de bière. Il se changea de manière à revêtir son uniforme et traversa la maison, mais il se rendit compte de l'apparition d'un nouveau parchemin, il le lut, et écrivit en dessous :

Joli joli, mais peut mieux faire, j'en suis sûr, en tout cas, je te souhaite bonne chance pour la suite !

Il rangea sa plume et se posta dans un coin.

[HRP]Une jolie candidature que voilà, seulement, si je puis me le permettre, il y a quelques fautes au niveau de la conjugaison et des fautes de frappes : "Il s'écroula, un flasque de sang entourait le cadavre.", ainsi qu'une petite incohérence :" Mais que se passe-t-il ? Pas le temps de voir, je me dirigeais avec ma dragodinde vers le repaire des mercenaires.
Selon la carte, c'est près de la prison, ou dedans, je descendis les escaliers, les araknes se trouvait dans chaque recoin, donc à peu près toute la prison.
-Ohh! ...
Les Cages étaient toutes brisées, le corps des gardiens étaient ensanglantés, des crânes fracassés...
Je montais les marches, puis me rendit à la maison des Mercenaires."
La maison des mercenaires est au nord d'Astrub tandis que la prison au sud est.
Sinon c'est pas mal dans l'ensemble malgré des transitions trop rapide, mais bon ça m'est déjà arrivé, et ce n'est qu'un détail, bonne chance pour la suite ! [/HRP]


Edit : Désolé Dag'

(hrp) Merci, je compte bien et bel faire une suite, après les résultats.
Sinon, je relis mon texte tout de suite et corrige ce que je peux.
Merci de l'avis. (hrp)

Ayra' a écrit:

Bonjour.

Voici une candidature assez bien. Cependant je vois quelques petites choses qui me dérange :
- Ta candidature n'est pas très "belle" et c'est un point que j'apprécie particulièrement.
Essaye de faire des paragraphes et mets un peu de couleur.
- Si tu veux un peu étoffer ton texte, parle un peu de ta famille : Comment t'es parents sont mort? Qui sont les assassins? Tu as fait quoi après leur mort?

Bonne chance, Tu es sur a bonne voie.

Salut,
Merci de ton commentaire, j'en tiendrais compte, mais j'ai malheureusement oublié de préciser que le récit est en complète réécriture du récit, ou je tiendrais compte de tout cela, je comptait bien parler de ma famille dans la suite, mais vu le commentaire de daguers, j'ai bien et bel un histoire pour le mort que je publierais peut-être plus tard, quand je me serais remis de cet incident.

Bonsoir,
Je viens de mettre a jour ma candidature, pour ce qui est de la beauté du texte, je suis entrain de m'en occuper, il sera prêt pour demain, je vous laisse tout de suite découvrir le texte a la nouvelle version ( voir le premier post. )
Pour les curieux, j'ai gardé l'ancienne version :

Code:

J'étais allongé contre un arbre, Dans les champs de bonta, l'orge vert foncé, se dressait devant moi, attendant qu'un paysan vienne le couper.
J'avais quelques bouts de blop près de moi, un de chaque couleur, je trempais mon pinceau en poils de firefoux soigneusement dans le bout de blop indigo.
Je le repris puis continuais de peindre mon tableau, j'étais dans une flaque d'eau, près d'un gelutin.
Ma Dragodinde Orchidée, se nourrissait des petites herbes qu'elle trouvait un peu partout.
Je me leva, passa ma main sur mes cheveux et m’exclamai:
-Ah, encore plus doux!
Quand un parchemin, tournoyant dans les airs, vient se poser comme par magie entre mes mains.
-Hein ...
Contrôlé par la curiosité, j'ouvris ce dernier:

[center] Oyé, Oyé !
Appel, à tout Mercenaires, voulant gagner une grosse somme d'argent.
Je suis prêt prêt a payer 100 000k, pour la tête de Rineklad.
Pour les curieux, ce sont des affaires personnelles.
*Photo De la personne ou devrais-je dire Créature*[/center]

Cette affiche devait surement venir du Mur des Mercenaires d'Astrub.
Mon père m'en avait parlé un jour...
Mon père...
Je me souviens encore de jour là...
Le jour où ils ont assassiné ma famille!
Je sentis la colère bouillir en moi, j'avais besoin de kamas,et j'étais assoiffé de sang, je devait tuer quelqu'un, j'avais peur que ce sentiment puisse me recontrôler encore une fois, j'avais déjà tué un assez grand nombre de personnes comme ça.
Le seul métier qui me convenait était Mercenaire.
Je pris ma monture, et me dirigea vers astrub.
-Mercenaires, je viens, et je vais vous montrer de quoi je suis capable !
[i]...Trois jours plus tard...[/i]
-Halte Jeune aventurier! Personne n'est autorisé à entrer à astrub, pas pour le moment en tout cas! dit un crâ.
J'étais devant l'entrée d'astrub, interdit d'entrer selon le gardien, je me demande bien ce qui se passait de l'autre côté.
Je revins sur mes pas, puis me rendit à la forêt d'astrub, Puis me téléporta dans cette ville.
Elle était désertée, personne ne squattait l'hôtel de vente, ni la taverne.
Mais que se passe-t-il ? Pas le temps de voir, je me dirigeais avec ma dragodinde vers le repaire des mercenaires.
Selon la carte, c'est près de la prison, je descendis les escaliers de cette dernière, les araknes se trouvait dans chaque recoin, donc à peu près toute la prison.
-Ohh! ...
Les Cages étaient toutes brisées, le corps des gardiens étaient ensanglantés, des crânes fracassés...
Je montais les marches, puis me rendit à la maison des Mercenaires.
La porte était entrouverte, je la poussais, et fit un pas en avant, une flèche Rapide comme l'éclair venait droit sur moi.
Je réussi a l'esquiver, puis l'attrapa.
-Non non non, ce n'est pas comme ça qu'on accueille un visiteur.
-Et à qui ai-je l'honneur ?
-Seitle, Disciple féca.
-Et que veux tu, pour déposer des contrats, il fraudais allez vers le mur à côté de la maison.
-Non non, je suis venu pour devenir Mercenaire !
Le crâ éclata de rire.
-Un féca, mercenaire, ha ha ha, laisse moi rire, on va te pulvériser comme un misérable moskito, tu ne pourra pas résister Deux secondes. Va plutôt jouer autre part, je n'ai pas de temps à perdre.
Je me retournais, avança et claqua la porte.
-Quel prétentieux, pensai-je.
Qu'allais-je faire à présent ?
-Ahhhhh! Au secours.
Un appel à l'aide, que pouvait-ce bien être ?
Je galopais avec ma dragodinde vers la source du cri.
C'était Rinekald, On dirait un Bwork, en plus répugnant, je me demandais avant si il existait quelque chose de plus laid, et maintenant elle était sous mes yeux, Ses yeux sortaient de leurs Orbite, des cheveux Semi brulés dégageaient une odeur nauséabonde, son teint était entre le vert et le bleu, il avait de grosses griffes Jaunes, des crocs puissants, C'était un écaflip Robuste, transformé par je ne sais plus quoi. je le savais grâce a ses oreilles pointues, son odorat, et il avait toujours son Epée.
Devant lui, un jeune Eniripsa, qui se promenait imprudent, s'était fait capturé par la créature, et qui allait le dévorer.
Je descendit de ma monture, et fonça sur la bête, elle fut poussée d'un ou deux mètres, mais suffisant pour libérer l'enirispa qui partit se cacher derrière un arbre, observant le combat.
La créature Grognait de colère, j'avais volé son repas, et maintenant j'étais sa cible.
Il fonça comme un iop sur moi, il me heurta et se fit du mal à lui même.
J'avais activé mon bouclier, il revint, puis donna plusieurs coups de poing sans effet.
Quand soudain, Bam, un de ses poings me cogna directement sur le nez.
Aie, j'avais oublié que les armures disparaissaient au bout d'un moment, mon nez était tout rouge, et il allait payer pour cela.
Je fonçais sur lui, Boule de feu à la main, il sortit son épée et bondit au dessus de moi, puis redescendit, et essaya de me couper la tête.
Je m’agenouillai, mais il réussit quand même à me toucher.
Je vis dans ma main alors des cheveux, Mes cheveux!
-Noooooooon, Pas mes cheveux doux et soyeux !
Maintenant il me cherchais bien, et il m'a trouvé, une aura rouge commençait a se dessiner autour de moi.
J'étais furieux, je sortit alors mes dagues Rhumes, et, à la vitesse de la lumière, arrivai devant lui, le poignardais, encore, encore, la bête ne comprenait rien a ce qui se passait,  je lui donnais alors Le coup fatal, une dague dans l'épaule.
Il s'écroula, une flasque de sang entourait le cadavre.
Il reprenait peux à peu sa forme normale.
Ma colère s'apaisa, c'est alors que je remarquais les autres personnes qui me regardaient comme un héros!
-Après cela, fit difficilement le crâ, je crois que je vais repenser à ton admission au clan, sinon voici la prime du contrat.
C'était mon premier contrat réussi.
Poches pleines, je partis à la taverne ou je me permis de louer une grande chambre, mais pas de bière, enfin pas pour l'instant.

[i]...Le lendemain matin...[/i]

Je venais d'accrocher mon parchemin écrit toute la soirée avec la plume de tofu royal.

[center] Nom: Seitle
Âge : 16 ans.
Profession :Chasseur de têtes/
Exploit: Réussit à battre Rinekald.
Défauts : Adore ses cheveux soyeux.
              Curieux.
              Quand il je me met en colère, difficile de m'arrêter.

Qualités:Puissance quand je suis en colère.
            Curieux.
            Cheveux doux et soyeux.
           
[/center]
Puis revint a la taverne pour passer la nuit

Le lendemain, Seitle s'approcha de son affiche, où il vit une petite écriture verte : "POUR".
Un petit plaisir lui arracha un sourire quelques instant, puis revint normalement a ses toiles.
(hrp)
Ouah, mon premier POUR, merci, mais je regrette bien ne pas avoir une remarque, une critique, ou un encouragement .
Merci quand même.
(hrp)

Une excellente candidature.

Je revenais voir les messages sur le panneau, je vis alors un "POUR" Majestueux écris, voila, il ne restait plus qu'un.
Je repris alors ma route, vers les champs, continuer mon dessin en parlant d'un sujet totalement intéressant avec ma coiffe et cape obvijevan, ce qu'il savaient faire de mieux.