Candidature de Thewel

Candidature de Thewel

Avec Allister, Amakna avait trouvé un roi pacifique et mesuré, un ami des citoyens, un défenseur de la justice, aux mœurs quelques peu dissolues, certes, mais tout de même respectés de tous. En cette fin de septange 641, rien ne laissait présager que le ciel bleu qui se reflétait dans l’eau des rivières pourrait un jour devenir couleur ocre.

Cela faisait bientôt cinq années que Thewel avait débuté son périple dans les contrées de Domen à la recherche des Dofus. Descendant direct de la famille des Cendrelune, Thewel ne possédait désormais qu’un frère cadet de deux ans, du nom de Zekyel. Bien qu’ayant été toujours liés, celui-ci avait émigré vers les contrées d’Helsephine où il avait gravi différents échelons pour finir par dépasser son frère en puissance. Certes, le fait d’être plus petit que la majorité de la classe aurait pu être handicapant au quotidien. Mais Thewel savait qu’au fond, ce n’est pas la grandeur physique qui compte, mais celle de son esprit et de chaque acte que l’on pose jour après jour.

Extraits du livre de Thewel, intitulé "Ma Guerre, mon Espoir, ma Vie."

Ploc,… Ploc,… Ploc,…

Le bruit de l’eau qui tombe dans une flaque, c’est toujours assez particulier, non ? Il faut se l’avouer, cette chasse au Dofus est bien plus difficile qu’elle n’en paraît. N’en trouver qu’un seul après si longtemps, n’est-ce pas de la pure folie que de s’obstiner à courir vers un objectif qui ne cesse de s’éloigner au fur et à mesure ? Bref, il ne faut pas que je me laisse m’abattre par cette simple pensée. Où est donc passé ma persévérance qui ne m’a jamais fait défaut ? Un peu de repos bien mérité chez moi ne fera que du bien.

[…]

Hum… Je ne sais vraiment guère quoi penser de cette guerre. Les derniers tofus qui m’étaient arrivés de mon frère n’étaient guère réjouissant. Sûr qu’ils avaient vaincus leurs ennemis, mais cela ne faisait qu’en réalité que reporter le conflit sur d’autre terre. Certains journaux relataient déjà des mouvements de troupes au nord des contrées de Domen, mais personne ici ne prenaient cette information réellement au sérieux.
El Luche, c'était son nom. Cette guerre qui durait depuis plus de dix ans entre les différentes contrés de Silvose et Raval avant de s’étendre peu à peu au monde avec des belligérants plus ou moins féroces. En effet, elle ne concerna pas que deux Duchés, comme la plupart des guerres à cette époque, mais en concerna bien plus au fil du temps.

[…]

Boom, Boom, Boom

C’était le petit matin. Ce bruit violent et rapide provenait de la porte d’entrée. Mais que diable peut-il bien frapper à cette heure aussi matinale. Je n’étais guère réveillé et ce fut alors avec beaucoup de mal que je me décidais à descendre à ouvrir, alors que le bruit retentissait une nouvelle fois encore plus fort.

« Monsieur Thewel Cendrelune ? » me questionna le soldat à mon entrée.
« Lui-même. Pourrais-je savoir à qui ai-je l’honneur ? »
« Colonnel Blanbek, chef des armées du régiment sud d’Amakna. Je viens vous apporter cette convocation officielle de la part du roi. Merci de vous présenter promptement à son palais, le temps presse. »

Je prenais alors machinalement la lettre scellé du cachet du roi Allister. Pas de doute, celle-ci émanait bien de sa main. Mais qu’est-ce que cela voulait dire ? Sur ces quelques mots, le soldat me salua et parti.
Me voilà seule face à cette lettre. Je la décachetais d’un seul trait pour prendre connaissance de son contenu. Je n’eus pas de mots à ce moment-là pour décrire ma réaction. Les troupes entre aperçues il y a déjà deux mois de ça n’étaient pas imaginaires, celles-ci n’étaient que la prémisse d’une guerre contre un adversaire dont je n’ai encore aucune idée.

[…]

Me voici désormais enrôlé par la garde d'Amakna pour défendre mes terres. Je n'ai même pas fini mon apprentissage, je n'ai que vingt-et-un ans, et me voilà forcé à partir en guerre... Et ce n’est pas ce stupide édito d'un journal de presse locale qui pourra me faire changer d’avis. Dans la chambre d'hôtel, la nuit venait de tomber et au dehors le froid faisait s'abattre sur Astrub ses premiers flocons. Quelle belle saison pour commencer cette guerre…

Fshiouuu

D'un simple souffle, la faible lumière qui émanait de la bougie s'éteignit dans la chambre.

[…]

Brrr, il fait froid. C'est la saison polaire qui arrive, je ne suis même pas certains qu’à frigost on puisse autant greloter qu’ici... Nous avons mis deux jours pour rejoindre Astrub. Le point de rassemblement se trouve juste à côté, dans les prairies de Notz. Notz était un ancien guerrier Iop qui à lui seul vaincu le dragon des rives de Sufokia. Kien, lui de son côté souriait. C’est bête à dire, mais on dirait presque qu’il est content de partir en guerre.

Avant de sortir d’Astrub, je passais devant la maison mercenaire, qui affichait une relative tranquillité. Les seules histoires que j’avais en tête à leurs sujets étaient celles contées par mon frère qui avait intégré un clan il y a trois ans de cela. Je crois même qu'aujourd'hui il le dirige, cela doit lui faire une masse de travail. Je me dirigeais vers la sortir nord d’Astrub qui était relativement bondées de monde. Est-ce que tous ces hommes vont comme au casse-pipe ?

Nous voici donc arrivés au moment fatidique. Notre général sus nommé Galaal se tenait en haut de la colline de Notz. Il prit alors la parole afin de nous rassurer et commença alors à nous répartir par bataillon. Je ne suis guère rassuré. On voyait bien dans les yeux de Galaal que la peur s’exprimait rien qu’à l’idée du combat. Pas besoin d'avoir fini son apprentissage pour le remarquer. Enfin bon, je suis sous ses ordres, nous sommes tous sous ses ordres, alors obéissons et feignons d’avoir pu apercevoir ce genre de sentiment. Notre ennemi commun était avant tout Raval.

Les dés sont désormais lancés. Galaal nous avait appelés par bataillon, il en avait quinze au total. Kien fut appelé dans le premier bataillon sous l’égide de Lorànt, maître féca, moi dans le cinquième sous le commandement de Pwyll. Il faut quand même avouer que ce maître Ecaflip avait le don pour transformer notre situation en moment d'humour. La guerre pour lui n’était qu’un coup de poker, ni plus ni moins. Il se montrait très protecteur à l’égard de ses troupes. Pwyll n'avait pas eu envie de participer à la première vague d’offensive, il la jugeait trop risquée pour envisager mettre en place une stratégie sans encombre.

Selon les plans de Galaal, les bataillons trois, quatre et six iraient droit sur l'armée Ravalaise. Il avait placé trois de ses meilleurs hommes en tête de ces bataillons. Dalaran, maître Enutrof, était connu dans tout le Dûché pour sa tactique et pour sa maîtrise de son incroyable arme, l'Emélaka. Il dirigeait le quatrième bataillon.
Après dix jours de marche, nous voici arrivés sur les champs de bataille. La neige était tombée en abondance ces dernières semaines ici. Malheureusement pour nous, la guerre était déjà passée par ces lieux. Le manteau blanc par endroit avait pris une couleur rouge et des cadavres jonchés recouverts par la neige accompagnés nos pas. Il n'y avait plus âme vivante dans les environs. Les premières nouvelles du front n’étaient pas bonnes, les soldats en face arrivés toujours plus nombreux et faisant toujours plus de victimes. À la vue de ce spectacle horrible, mon moral était en chute libre. Sommes-nous réellement que de la chair à canon ?

« As-tu juste pensé une fois à pourquoi tu te battais ? » me fit Pwyll.
« N…n…n…non.» lui répondis-je d’un ton mal à l’aise.
« Tous ces gens que tu vas envoyer à la mort. Tu ne le feras que pour défendre ta vie et celle des compagnons. Cela ne t’apportera peut-être rien de plus dans ta vie de tous les jours, mais ta contrée te sera éternellement reconnaissante de ta loyauté. Maintenant, trêve de discussion, en avant. Le temps presse… Ce sera bientôt à notre tour. »

Notre cadence de pas s’accélérait, au loin nous commencions à apercevoir notre future base. Au loin des coups sourds retentissaient. Notre destination finale était-elle plus proche que je ne le pensais ? Nous arrivâmes enfin au camp assombrit par la nuit. Seuls quelques feux allumés à l’occasion éclairés les toiles de tente installées pour l’occasion. Au loin, plus de doute n’était possible, le bruit que nous entendions tout à l’heure était bien celui de la bataille. La couleur rougeâtre qui s’en émanait me faisait froid dans le dos.

« Parce que presque tout – tout ce que l’on attend de l’extérieur, nos vanités et nos fiertés, nos peurs de l’échec – s’efface devant la mort, ne laissant que l’essentiel : Nous même.»

Le soleil est à peine levé que le camp se préparait déjà à faire feu. Sur les conseils de ceux qui étaient revenus vivants, Pwyll nous fis passer derrière la colline surplombant le terrain de bataille. Il fallait désormais croiser les fers. Galaal avait bien agi, car de l'Ouest, nous aperçûmes le troisième bataillons, riche en disciples Crâs, archers, se mettre en place, sur une colline à peu près semblable à la nôtre. Les flèches jaillirent de tout sens, ensorcelées, emprises de magie ou tout simplement spéciale à leurs armes. La puissance qui émanait de Galaal et Pwyll me consternait. Autour d’eux, quand ils se concentrent, la terre se soulève, et de la lumière émane de leurs corps. Je n'avais encore jamais vu autant de puissance face à moi. Au croisement des deux bataillons, Lorànt avait visiblement lancé un sort d'arrêt très puissant, empêchant tout le monde dans un rayon de cinq cent mètres, ennemis comme alliés, à avancer. Le sort commençait cependant à se dissiper. Un jeune discipe Iop qui me surpris par derrière essaya de me tuer en me sautant dessus. Une chance que Kien ne fût pas loin et le tua, d'un simple coup de marteau. Pas le temps de remerciement, celui-ci entrait déjà en combat avec un autre ennemi. Je me remis debout et continua sans haleine à essayer de soigner mes alliés. La vue de cette scène était horrible, mes compagnons tombaient au fur et à mesure, je perdais mes moyens. Le ciel s’assombrissait, les sons devinrent alors éloignés, je perdais connaissance.

« Ah, ben voilà notre valeureux guerrier qui se réveille... j'ai cru que tu étais mort, après le coup que tu t'es pris sur le crâne, et je crois qu'il en aurait mieux valu pour toi... enfin bref, tu es désormais loin de toutes menaces. »

Cette voix familière qui me parlait était tout simplement celle de Ewenae, une brave amie eniripsa d’Amakna.

« Je..., ils sont tous morts ? J'ai vu le cadavre de Kien et Galaal sur le champ de bataille... il y avait de la fumée au loin du côté de Raval, je me suis dit que c'était leur campement, que de nouvelles troupes arrivées.»
« Calmes toi… tu vas saigner davantage si tu t’agites. Laisse-moi t’expliquer. Galaal et Pwyll ont jugé bon au vu de la tournure que prenait ce combat d’avertir le Duché d’Helsephine afin qu’il nous prête main-forte. À l’heure actuelle, leurs troupes sont à notre côté et nos efforts pour repousser Raval commence à porter ses fruits. Quant à Kien, il est dans une autre tente un peu loin. Il n’a cependant pas eu la même chance que toi, sa jambe gauche est en grave état. Je doute qu’un jour il puisse reprendre le combat. Galaal lui se porte très bien, à croire que le temps n’a aucune prise sur lui, quel vieux grippe-sou. De plus j’oubliais, voici une lettre de ton frère, Zekyel, tu ne m’avais pas dit qu’il était parti si loin que ça de notre contrée. »

D’une seule traite, je pris le parchemin qui m’était destiné et l’ouvrit sans attendre.

Spoiler:

Les semaines passèrent, le conflit était désormais terminé et la contrée de Domen avait retrouvé son clame d’antan. Faire la guerre ne s’improvise pas et laisse à jamais de séquelles. Les plus importantes ne sont pas celles qui sont visibles, mais bien celles enfouies au plus profond de nous. Personne ne désire mourir. Pourtant, la mort est un destin que nous partageons tous. Personne n’y a jamais échappé.

Face à cette solitude d'après-guerre qui devenait de plus en plus pesante, il fallait que j'agisse. Les mots de mon frère avaient entre temps germé dans mon esprit. De retour en Amakna, il m'arrivait alors souvent de passer devant la maison des mercenaires. Ce jour-là je me décidais enfin à pousser la porte menant au hall d'entrée des mercenaires. Je prie une plume qui était posé sur la table et commenças alors à rédiger sur un parchemin ce qui serais ma candidature.

Citation :

Bonjour à tous,

Je suis Thewel Cendrelune, disciple eniripsa de cercle 84. Les raisons qui poussent à vous rejoindre sont aussi nombreuses et variées que les plumes d'un tofu. Néanmoins, celle qui m’anime le plus est de rejoindre une communauté soudée. Pour moi, être mercenaire offre une conception plus « libre » de l'alignement que « Démon » ou « Ange ».

Les Eldrigans sont pour moi la chance de peut-être intégrer un clan avec de vraies règles, une hiérarchie, un respect envers les autres membres du clan et les supérieurs, bref une bonne école de la vie. En grandissant, ce sont les amis, mais aussi les ennemis qui s’agrandissent. Bien que n’ayant guère de soucis dans ma vie, je souhaite rejoindre un groupe où l’entraide prime avant l’individualisme ambiant. Mon caractère bien que facile me pousse souvent à dire les choses telles que je le ressens sans prendre de gant. Notre existence est limitée, ne laissez pas les autres vous dicter le monde tel qu'ils le voient, surtout si votre voix intérieur vous suggère d'autres alternative. C'est pourquoi je souhaite être un élément actif au sein des eldrigans. Il faut toujours avoir le courage de suivre son cœur et son intuition.
J'ai pour habitude de dire que ma confiance se mérite, ce qui est réellement le cas. Mais une fois que celle-ci est acquise, celui qui la possède aura tout mon soutien même dans la situation la plus grave.

Notre vie n'est qu’éphémère, alors autant en profiter : soyez insatiables, soyez fous !

Bien cordialement,
Thewel.

C'est sur cette phrase que j'achevais mon parchemin. Je la relue alors plusieurs fois avant de comprendre que mon acte était posé. D'ici quelques jours je serais fixé sur mon devenir. Je reposai alors la plume qui m'avait servi à écrire et me dirigea vers le panneau de recrutement. Celui était encombré de plusieurs messages de candidature apposés bien avant la mienne. D'un geste simple, je cloutais celle-ci parmi tant d'autres.

C'était fait. Ma candidature pouvait se lire aux yeux de tous. D'un pas lent je me dirigeais alors vers la sortie, la tête de nouveau plein de joie et d'avenir.

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NOTA : Au cours de ce RP, Thewel lit un journal, en voici un article :

Spoiler:

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J'aime beaucoup ta candidature, on y voit tes expériences et aussi tes motivations. Cependant on a une règle d'honneur on ne répond jamais au provocation à la maison. Seras tu capable de la tenir ?

Sinon il y a autre chose qui me chagrine, mais à vrai dire ce n'est pas étonnant sur une candidature de cette taille. Il y a quelques fautes, mais elles sont très peu nombreuses pour la grandeur de ta candidature et n'entraine aucun problème de compréhension.

J'aimerais aussi en savoir un peu plus sur tes qualités et tes défauts.

Dans l'ensemble ta candidature est très bien, on voit que tu as pris le temps de la construire. J'espère te savoir parmi nos rangs dans peu de temps.

Alors qu'il rêvassait tranquillement accoudé au magnifique comptoir de la taverne d'Astrub, Thewel se souvint de sa candidature qu'il avait clouté chez les mercenaires. Sortant d'un pas rapide du temps de la bière, il se dirigea alors vers la maison des eldrigans, imperturbable malgré le tumulte ambiant des rues. Quelle ne fut pas sa surprise en rentrant, une réponse avait été ajouté en bas du parchemin. C'est donc avec attention qu'il lut le mot d'Highlender. Après l'avoir parcouru, il saisit sa plume et commença à rédiger une réponse.

Citation :

C'est avec plaisir que j'ai appréhendé ta réponse Highlender.
J'ai essayé au possible de corriger les deux erreurs qui faisaient tâches sur ma candidature, sous réserve que certaines ne soit passées à la trappe.

Cordialement,
Zekyel.

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Bonsoir Highlender,

Merci d'avoir pris le temps de répondre à ma candidature.
Je ne vais pas trop m’appesantir sur mes qualités, on est très souvent mauvais juge de soi-même.
Rapidement je me qualifierais d'énergique, drôle et jovial. Je fais également du karaté et de la natation, histoire de ne pas rester plus de trois heures chez moi à rester scotcher devant le PC ou une TV. Petit détail, je suis étudiant en informatique réseau et particulièrement contre ce cliché qui nous catégorise comme des no-life... Ma vie s'écrit à l’extérieur avec mes ami(e)s, pas devant une console.

Je vais également te rassurer aussi sur un point. Je ne me permettrais sous aucun prétexte d'insulter ou manquer de respect envers quelqu'un. Une personne qui t'insulte est généralement quelqu'un qui manque d'arguments face à tes propos. Ayant déjà une expérience mercenaire derrière moi de plus de trois ans dans le mercenariat sur un autre serveur, je ne me suis jamais laissé emporter face à des interlocuteurs injurieux. Insulter les autres, c'est s'abaisser à un niveau puéril que je ne peux concevoir. Riposter, ce n'est pas forcément s'abaisser. De plus, de part et d'autres, nous représentons à travers nos paroles un clan et devons donc être garant de l'image que nous renvoyons aux inconnus.

Voilà une petite précision sur mon caractère. En espérant que celle-ci te convienne.
Bonne soirée à toi.
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Zekyel soucieux depuis la soumission de sa candidature, attendait ces dernières heures des nouvelles des mercenaires quant à celle-ci. Vint alors au loin une petite touffe de plume jaune. Un tofu messager ! Le petit volatile venait lui annoncer qu'une nouvelle réponse avait été écrite sur son parchemin. De ce pas, il courut alors à la maison des mercenaires pour pouvoir y lire la nouvelle remarque qui y avait été apposée.

Bonsoir Kioumi,

Quelle fût ma surprise lorsque j'ai pu découvrir ta réponse. Ce premier vote positif que tu m'accordes me redonne du souffle au cœur et me permet d'espérer vous rejoindre prochainement.

Cordialement,
Zekyel.


[HRP]
Effectivement, c'est deux petites erreurs qui peuvent avoir leurs pesant de cacahuètes. Pour la première, je n'aurais guère d'excuses à te donner, mis à part le fait d'une malencontreuse faute de frappe. Cela peut arriver et vu la longueur de ce récit, cela devait être plus que probable. Pour la seconde, cela tient aussi plus à l'étourderie qu'autre chose. Je te rassure, je ne suis pas devin et ne peut me projeter dans l'avenir. J'avais pourtant été vérifier à ce sujet la date dans Dofus afin de projeter ce récit il y a un an de ça. D'où l'hypothétique 641 qui aurait dû apparaitre, mais qui a pris 20 ans de plus sans trop d'explications.
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Une personne encapuchonnée entra avec la plus grande discrétion dans la maison, évitant tout les regards qui seraient susceptibles de se tourner vers elle. Elle retira avec grand soin la mèche de cheveux situé devant son œil gauche, regarda partout et entreprit de repartir.

Ils étaient là-haut, tout les deux...

Elle approcha sa main de la poignée quand elle réalisa qu'elle pourrait regarder le panneau des candidatures. Elle y alla donc et entreprit la lecture du premier parchemin. Après quelques minutes Amaterasu sortit une plume de son sac et écrivit finement :


"Bonjour Thewel.
Je trouve votre candidature tout simplement excellente. C'est plaisant au regard, plaisant à la lecture on est rapidement entraînés dans l'histoire.
Les seuls petits problèmes sont ceux ayant était cité plus haut, alors je ne vais pas en rajouter.

Espérant vous voir dans nos rang,
Srimicalement."

Le candidat ne souhaite plus devenir Eldrigan. Donc j'archive sa candidature, s'il change d'avis qu'il vienne m'en parler.


[As'dit : Sujet déplacé dans la salle de recrutement pour 7 jours, il semblerait que le candidat veuille repasser un entretien.]

Le candidat étant devenu Eldrigan, je le félicite et archive sa candidature.