Candidature de Floflo-vp [Acceptée]

Chapitre 1 : Une famille banale

On était en l’an 576. A l’extérieur de Brâkmar, dans une contrée encore inconnue, vivait reclus un petit couple dont le mari était paysan, disciple de Crâ et sa femme boulangère, elle, disciple d’Eniripsa. Ainsi, tous les jours ils travaillaient d’arrache pied l’un et l’autre. L’homme travaillait admirablement la terre, il y mettait tout son cœur tel un bwork affamé cherchant son repas. Sa détermination et son courage lui valaient à chaque fois : il obtenait une merveilleuse récolte de céréales diverses : blé, avoine, houblon… Il devait ensuite s’armer encore de plus de courage car pour moudre ses céréales et en faire de la farine douce comme de la laine bouftou, il devait passer par la forêt maléfique pour ensuite rejoindre le moulin qui se situait au beau milieu de la plaine des scarafeuilles. Cependant cette forêt pouvait causer sa mort car celle-ci était un vrai labyrinthe. Heureusement pour lui il avait eu l’ingénieuse idée d’embarquer dans sa besace une grosse bobine de fil qu’il déroulait derrière lui petit à petit qu’il avançait. Ainsi lorsqu’il revenait du moulin il n’avait aucun mal à retrouver son chemin. Voila en quoi consistait la vie quotidienne de cet homme. Sa femme quant à elle, travaillait merveilleusement la pâte à pain. Et c’est pour cette raison qu’elle restait à leur maison et faisait tous les jours de succulents pains et de délicieuses sucreries. Ils avaient tous les deux construit, à l’aide de boue et de paille, leur four à pain au fond de leur petite maison qui ressemblait à s’y méprendre à une hutte.

Le dernier Dinsdor de chaque mois ils s’en allaient tous deux sur leur modeste charrette, tirée par un bouftou qu’ils avaient apprivoisé depuis qu’ils avaient élu domicile au beau milieu des champs, vers Brâkmar. A Brâkmar ils faisaient alors le marché, qui durait souvent trois à quatre jours. Ils proposaient à la vente leur production de farine, pains et sucreries. Ils s’en retournaiznt après chez eux, avec souvent une modique bourse de trois mille kamas. C’est ce avec quoi ils vivaient chaque mois. Et c’est ainsi que cette famille comme tout autre famille qui aurait pu exister dans le Monde des Douze vivait.

Chapitre 2 : Une naissance par nécessité…

Le petit couple vieillissait et les années passaient de plus en plus rapidement. Le petit paysan rencontrait nombreuses difficultés à cultiver son champ. D’une part car le travail de la terre est épuisant et d’autre part il devait veiller à ce qu’aucune bête qui peuplait les contrées ne vienne ravager son champs. Quand ce n’était pas les fleurs des champs et les tournesols sauvages qui faisaient pourrir la récolte, c’était les bouftous qui causaient encore plus de dégâts en piétinant les plans de céréales. Mais comme dit plus haut le couple se faisait vieux et n’avait plus les mêmes réflexes que lorsqu’ils étaient plus jeunes.

Un soir après un repas, qui s’était composait d’un morceau de steak de sanglier (qui avait était tué par le paysan grâce à son arc) et de racines de tournesols, la femme du paysan lui demanda :
- Pourquoi n’aurions-nous pas un enfant ?
- Tu le sais très bien, je m’y oppose car cela serait une charge de plus. En plus nous nous faisons vieux et avons déjà du mal à vivre comme cela, lui répondit-il.
- Mais réfléchis, c’est vrai que nous ne sommes pas tout jeune et qu’un enfant c’est une grande responsabilité. Mais un enfant devient très vite grand et il sera à même de t’aider…
- C’est vrai là tu marques un point, je n’y avais pas réfléchis après toutes ces années, la coupa-t-il.
- En plus tu m’as dit l’autre jour, ce devait être Miercolidor, que tu avais un mal fou de surveiller le champ contre les attaques de toutes ces créatures peuplant nos contrées, continua-t-elle en argumentant.
- Tu marques un deuxième point, mais il faut que tu me laisses y réfléchir. On dit que la nuit porte conseil.

Le vieux, durant sa nuit de sommeil, repensa à la conversation qu’il avait eu la veille avec sa femme. Elle avait raison, ils n’étaient plus tout jeune et auraient grand besoin d’aide de quelqu’un. Le lendemain, il annonça sa décision à sa femme qui fut tout enthousiaste à l’idée d’avoir un enfant.
C’est comme cela que naquit Floflo-vp, une iopette, le 5 Vandanor de Junidor de l’an 601.

Chapitre 3 : …et une enfance malheureuse

Floflo-vp grandit donc en aidant ses parents. Toute petite, elle aida sa mère à la confection des pains. Elle apportait à sa mère la levure ou la farine que celle-ci lui demandait. Elle apprit ainsi des son plus jeune âge l’art de pétrir la pâte. Elle n’avait aucun moment de répit sauf quand ses parents en avaient un : c’est-à-dire lorsqu’ils mangeaient ou dormaient. A partir de son quatorzième anniversaire, c’est son père qu’elle aida. Cela lui plaisait un peu plus que ce qu’elle avait fait auparavant avec sa mère : c’est ainsi dans les champs de son père qu’elle apprit avec lui l’art du combat. C’est là qu’elle combattit son premier moskito, son premier bouftou… Cependant si le fait de surveiller le champ et empêcher les montres de le ravager la distrayait un peu, le travail de la terre n’était vraiment pas marrant : il fallait désherber, retourner la terre, semer, arroser… En bref cela était épuisant surtout pour une iopette de quatorze ans. Lorsqu’elle rentrait au logis, elle partait souvent directement se coucher sans dîner tellement qu’elle était vidée de ses forces. Floflo-vp menait donc une vie plutôt à l’apparence misérable.

Mais un jour, un événement allait chambouler toute sa vie. Comme à chaque nouvelle récolte de céréales, le petit paysan partit pour gagner le moulin. Cependant trois jours après son départ il n’était toujours pas revenu. La mère de Floflo était très inquiète au sujet de son mari. C’est alors que le soir elle entendit un bruit venant de la porte. Elle s’empressa de l’ouvrir pour découvrir une flèche plantée dans celle-ci. Au bout de la flèche était accroché un morceau de parchemin. Il disait :
« Nous détenons votre mari. Si vous voulez le revoir vivant, rendez vous dans le village dévasté avant le 3 Miordor minuit tapante avec cent mille kamas. Si vous ne venez pas il mourra dans d’atroces souffrances »
Malheureusement la famille n’avait pas beaucoup d’argent. La mère rassembla toutes leurs économies soit à peu près vingt mille kamas. Elle partit ensuite avec sa fille car il ne restait que trois jours avant d’arriver à Miordor. Elles prirent la route qui était plus sûre que les petits sentiers. Elles arrivèrent un jour à l’avance après quelques péripéties normales pour des habitants du Monde des Douze (attaque de montres entre autre). A l’entrée du village dévasté la mère de Floflo lui dit avec un visage que trouva Floflo plutôt inquiet :
- Floflo tu va rester cachée dans une maison en ruine car si jamais la situation irait en dégénérant, je ne voudrais pas qu’il t’arrive quoi que ce soit. Si je ne reviens pas d’ici une heure enfuis toi avec quelques provisions et part à la maison.
- D’accord, lui répondit simplement Floflo aussi inquiète que sa mère. Elle tremblait de peur, ses membres étaient tétanisés.

Le pire se passa alors : sa mère ne revint pas et Floflo entendit au loin un cri effroyable à vous cassez les tympans. Elle s’en doutait ce devait être sa mère hurlante d’agonie. Floflo voulut pleurer mais n’y arriva pas. Elle s’était d’un coup remplie d’une haine et d’une rage à vous tuer Dark Vlad en un coup. Cependant elle savait qu’elle n’avait aucune chance pour tuer les assassins de ses parents et suivit les derniers conseils de sa mère à l’exception qu’étant plutôt maligne elle ne rentra pas à sa maison de peur que les agresseurs l’y attendaient. Elle décida de partir vers Brâkmar où elle savait qu’elle trouverait surement du travail.

Chapitre 4 : Une lueur d’espoir…

Elle courut tel un éclair d’une tempête de puissance, elle faillit même trébucher plus d’une fois mais elle arriva en un seul morceau à la place marchande où devait se rendre le grand Otomaï. Elle en avait entendu parler alors qu’elle servait un client à la taverne du Chabrulé. Floflo était ainsi devenue serveuse mais elle voulait changer de métier car servir des ivrognes notamment des pandawas (comme si on ne s’en doutait pas) en elle en avait ras la casquette. De plus il régnait constamment dans la taverne une odeur répugnante et écœurante qui s’échappait des alcooliques.

C’est donc pourquoi elle alla rencontrer Otomaï et demanda à celui-ci, qui la regarda surpris :
- Bonjour, monsieur, pouvez-vous m’enseigner les bases de l’alchimie ?
Otomaï comprit alors la venue de cette iopette qu’il trouvait plutôt jeune pour se balader seule dans les rues peu fiables de Brâkmar. Il donna en guise de réponse à Floflo :
- Bonjour jeune iopette, comment t’appelles tu tout d’abord et pourquoi devrais-je te prendre sous ma protection et pas un autre ?
Floflo s’enquit de répondre :
- Je m’appelle Floflo monsieur j’ai dix neuf ans donc merci de ne pas m’appeler jeune iopette je ne suis plus une enfant. Cela fait trois ans que je suis arrivée à Brâkmar car mes parents ont été assassinés. De peur que leurs agresseurs m’attendent chez moi pour me faire subir le même sort je suis partie pour Brâkmar. j’étais pratiquement sûre de trouver un petit boulot pour subvenir à mes besoins. Cela fait ainsi trois ans que je sers la taverne du Chabrulé mais j’en suis las. Quand j’ai entendu dans une conversation que vous arriviez aujourd’hui à Brâkmar et connaissant votre réputation, je me suis dit que c’était l’occasion rêvée de venir vous voir pour vous demandez si vous pouviez me prendre en tant qu’apprentie…
Otomaï la coupa :
- Je vois donc que tu as eu une enfance malheureuse et je comprends maintenant pourquoi une si jeune iopette est ici devant moi, mais tu ne m’as pas donné tes raisons pourquoi tu veux devenir mon apprentie.
- J’allais juste y venir. Et encore s’il vous plaît ne m’appelez pas jeune iopette. Depuis toute petite je suis fascinée par tout ce qui touche la faune et la flore notamment les créatures à quatre, six, huit pattes. Je trouve même que ceux qui possèdent deux pattes sont bien monotones face à leurs cousins multi pattes et multicolores. J’ai même procédé à quelques expériences avec les moyens du bord car ma famille ne possédait pas une grande fortune. Ainsi un jour j’ai attrapé un moskito et je l’ai laissé dans un petit récipient rempli d’acide. Ce jour je m’en rappelle encore ma mère nétait pas du toute contente et m’a dit que les gens qui ont deux jambes, on ne peut pas les dissoudre dans une cuve d’acide.
Otomaï souriait discrètement, cette petite lui rappelait lui enfant. Il déclara :
- C’est bon petite iopette je te prends en tant qu’apprentie mais le chemin sera dure.
- Cela ne fait rien monsieur, mais ne m’appelez pas petite car j’ai quand même dix neuf ans.
- Je vois que tu es déterminée et que tu as le sens de l’humour. J’ai compris, il ne faut plus t’appeler petite ou jeune iopette mais en contre partie ne m’appelle plus monsieur, appelle moi Otomaï ou Oto et ce n’ai plus non plus la peine ne me vouvoyer.
- Compris Otomaï.
Floflo devint donc une apprentie de plus d’Otomaï car celui-ci en avait eu plusieurs.

Chapitre 5 : …qui se révéla un échec pour Floflo

Au fil des années que Floflo servit Otomaï, celle-ci apprit beaucoup de lui est pu prétendre à avoir trente sept diplômes en alchimie. Au début elle était ravie et admiratrice de ce qu’elle faisait et ce que faisait Otomaï. Mais au fil du temps de nombreuses choses la chagrina : Otomaï même si il ne prenait part à la guerre entre les deux cités Brâkmar et Bonta, servait de plus en plus des causes sombres. Il préparait en effet de nombreuses potions avec l’aide de Floflo pour les serviteurs des dieux sombres, comme Djaul pour le plus connu. Les effets de certaines étaient effroyables. Une vous faisait attraper des pustules grosses comme des balles de boufbowl et par la suite elles explosaient ; sous la force de ces explosions et du liquide très nocif qu’elles renfermaient vous mourriez sur le coup. Une autre vous faisait allonger vos membres et vous deveniez tellement grand que vos organes ne pouvez plus s’étiraient et se déchiraient de toutes part entraînant une mort immédiate. Il y avait aussi une, encore plus horrible : dès que vous la buviez vous aviez de suite un infarctus et je vous laisse imaginer les atroces souffrances que pouvaient endurer les victimes. C’est pourquoi Floflo en eut marre de servir pratiquement que des causes sombres. Cela lui rappelait trop la mort de ses parents, il y a des années plutôt. C’était des personnes avec les mêmes intentions qui venaient chercher de telles potions. Un jour alors qu’ils étaient en train de préparer les ingrédients de futures potions, Floflo signala à Otomaï son intention de partir :
- Oto je voudrais te dire quelque chose, mais je pense que tu vas mal le prendre…
- Eh bien dis toujours pour voir.
- Cela fait un bout de temps que je te sers mais je commence à en avoir assez de servir des causes sombres. Cela me rappelles trop mon enfance.
- Je comprends que cela puisse te faire mal au cœur mais il y a aussi des Bontariens qui viennent demander nos services.
- Oui, c’est vrai je l’admets. Mais il y en a moins que tous ces Brâkmariens. C’est pour quoi j voudrais partir et m’installer à Bonta pour servir leur noble cause qui est je trouve plus digne que celle des Brâkmarein.
- Plus digne !! s’exclama Otomaï.
- Oui, c’est mon point de vue. Qu’y a-t-il de mal à cela ?
Otomaï reprit sur un ton très calme et posé car il lui semblait être allé un peu fort avant.
- Il y a certaines choses dont tu n’as pas connaissance et dont tu ne pourrais avoir connaissance car cela c’est passé bien avant ta naissance. La rivalité entre Brâkmar et Bonta remonte à bien longtemps comme tu as pu le remarquer. Une cité comme l’autre est prête à tout pour voir prospérer la sienne et anéantir l’autre. Et ce que tu ne sais pas et dont je vais t’éclairer va peut être te faire changer d’avis ou pas. Mais c’est la vérité pure et dure. Les serviteurs de Brâkmar commettent certes des crimes atroces et terribles mais il faut que tu te détrompes également sur le compte des serviteurs de Bonta. Il existe à Bonta une armée aussi terrible que certains des meilleurs guerriers Brâkmariens voir encore plus terrible : on les appelle les trois cents. C’est une des légions de guerriers dirigée par Gart Gartigan. Ils protègent Bonta mais ne sont pas à un crime près pour la prospérité de leur ville. Voilà ce que je voulais que tu entendes avant que tu choisisses ta décision.
- Ce que tu racontes est absurde Oto, ce n’est pas possible, rétorqua-t-elle.
- Je te dis que si. Si tu ne me crois pas va donc le vérifier par toi-même. Tu verras il n’y a pas que eux qui font des choses terribles à Bonta mais bien plus de monde.
- Eh bien j’irai le vérifier de mes propres yeux, foi de Iop. Je te fais mes adieux Oto.
- Adieu Floflo, j’espère de tout mon cœur que tu réussira dans ta nouvelle vie.

Chapitre 6 : De nouveaux espoirs anéantis

Floflo se rendit donc à Bonta et alla voir Amayiro pour lui demander de se faire enrôler dans la milice bontarienne. Cela tombait bien car il commençait à manquer de miliciens. Pendant cette période en tant que milicienne, Floflo se documenta et chercha des renseignements auprès des Bontariens sur les agissements de l’armée bontarienne. Mais à aucun moment personne ne lui parla des fameux Trois cents. Si, un livre ou plutôt un très vieux grimoire qu’elle trouva dans la bibliothèque. On y faisait référence à un moment. Cela donna envie à Floflo de ne plus rester à Bonta. Dans l’article sur lequel elle était tombée on mentionnait les méthodes d’actions des Trois cent. Ils ne valaient pas mieux que les guerriers Brâkmariens. Ils utilisaient comme ces derniers des potions aux effets atroces et pleins d’autres choses dont il aurait fallu un roman entier pour tout citer. Floflo comprit pourquoi les habitants de Bonta ne parler pas de cette légion. Otomaï ne lui avait raconté aucun mensonge au sujet de la cité. Le lendemain elle donna sa lettre de démission à Amayiro en inscrivant comme motif « déménagement ». Floflo ne voulait pas révéler à Amayiro les véritables raisons de son départ, car même celui-ci n’avait jamais mentionner la légion des Trois cents. Et si elle lui aurait parler de ce sujet, elle redoutait que ce dernier la fasse taire.

Chapitre 7 : Une nouvelle chance et un nouvel horizon…

Floflo, maintenant de cercle de puissance 39 partit alors en direction de la place marchande de Bonta et prit un zaap qui la conduisit à Astrub. Elle avait apprit au cours de son excursion à Bonta l’existence d’un clan de mercenaires nommé les Eldrigans. Ceux-ci avaient beaucoup de valeurs dont de nombreuses plaisaient à Floflo, le respect des autres, un langage normal et non celui des bworks, mais aussi le fait d’exécuter des contrats contre une belle bourse de kamas.
Arrivée à Astrub, Floflo dut traverser la place marchande qui grouillait de monde et de vendeurs qui criaient tellement qu’ils vous aurez fais exploser la tête. Floflo ne resta pas une minute de plus au milieu de tout ce brouhaha et se dirigea vers la maison des mercenaires. Elle y entra et une voix douce l’accueillit. C’était un des Maîtres Eldrigans, Toxus.
- Entrez, n’ayez pas peur. Qui êtes-vous et pourquoi venez-vous en ces lieus ?
Floflo, lui répondit :
- Je me nomme Floflo, je suis une iopette…
Et Floflo conta son aventure à Maître Toxus, qui déclara à la fin de l’histoire :
- Je peux dire que pour une iopette pas encore très vieille, tu en as vécu des péripéties. Tu me plais bien. Mais si tu veux pouvoir prétendre intégrer notre clan il te faudra maintes qualités comme la patience, le courage, le respect des uns comme des autres, mais également être disponible pour le clan et un dernier conseil redevenir neutre…
- Oups, je ne savais pas qu’il fallait se faire enlever ses ailes. Ce n’est pas grave j’irai me les faire enlever. De plus je m’attacherai d’être le meilleur possible, je voudrai pouvoir traverser avec vous la route du Monde des Douze et pouvoir proposer mes services aux gens en ayant besoins. Il me tard de connaître votre avis et celui de vos compagnons.
- Je vois que tu en veux. C’est déjà une bonne chose. Par contre il se fait tard tu devrais rentrer chez toi. A plus tard.
- Vous avez raison. Je part de ce pas rejoindre ma maison. Bonsoir Maître Toxus

Et Floflo s’en retourna toute enthousiaste en refermant le portail par où elle était entrée.

[HRP]

Bonjour à toutes et à tous, je me nomme dans la vie courante Florian et je vie dans un patelin du fond du …………… qui se situe près de Valenciennes. J’adore les jeux vidéos en général mais en particulier Dofus (rappel : entreprise qui est à Roubaix à trois-quarts d’heure de chez moi, c’est une des raison qui m’a poussé à tester à l’époque le jeux). Cela va fait un peu plus de quatre ans que j’y joue surtout pour le plaisir, les rigolades en tout genre et passer de bon moments dans une communauté de joueurs. J’espère donc que le fait d’être d’un cercle de puissance plutôt bas n’handicapera pas ma candidature pour devenir, je le souhaite très fortement, un des vôtres : Eldrigan. De plus durant ces quatre années j’ai testé l’alignement brâkmarien et je l’ai quitté il y a quelques mois pour passé du côté des Bontariens mais cela ne me plait guère également. C’est alors que j’ai fait connaissance de votre grande famille (via internet et votre forum entre autre), dont les valeurs m’ont beaucoup plus : les respect des autres qui n’est pas toujours respecté malheureusement, le fait d’écrire dans un langage correct (A BAT LE LANGAGE SMS : nous avons une très belle langue autant l’utiliser), etc. De plus, le côté Rôleplay de votre communauté m’a influencé à essayer de devenir Eldrigan : les missions organisées à toutes échelles, le style d’écriture pour saluer, prendre congé…Je souhaiterais si ma candidature est acceptée de m’investir à fond (quand même pas jusqu’à ne plus avoir un moment pour subvenir à mes besoins quotidiens Wink

) dans la vie de cette communauté et participer et/ou organiser de tels événement.

Dans l’attente de devenir Eldrigan, je vous dis déjà merci d’avoir pris la peine d’avoir lu ma candidature.

[/HRP]

Accroche son parchemin au panneau des candidatures, excitée et enthousiaste en espérant que quelqu’un la lirait et lui répondrait. Et sachant que cette fois-ci elle n’aurait point de remords car elle l’avait faite toute seule sa candidature.

Hanyoru pénétra dans la maison et saisit le parchemin le plus long avec une pointe de doute. Après la longue lecture, il entreprit de répondre haussant du sourcil sans arrêt se qui lui donnait un air de brute musclant ses muscles sourcilières ( Si muscle sourcilière il y a. )...

-Bien l'bonsoir comme qu'on dit. J'flânais dans l'coin quand m'est v'nu l'idée d'lire votre parchemin et j'suis bien désolé mais qu'on l'veuille ou non, s'que vous avez fait pendant la dernière candidature vous suit. S'donc avec une pointe de perplexité qu'j'ai attaqué votre écrit pour en sortir quelques éléments douteux, en aucun cas j'n'insinue qu'vous avez copié mais si vous n'l'avez pas fait, vous devriez être apte a répondre a mes questionn'ment.

[HRP]

Donc on va commencer par l'commencement... Z'êtes né en l'an 684? Ou même plus tard encore ? S'bien triste mais j'me dois d'te préciser que présent'ment , on est en 640... Vous v'nez tout d'même pas du futur... Ensuite, tout l'long d'vot' candidature, vous vous présentez comme une femme... Non pas qu'je n'y croit point mais bon j'toujours cru qu'vous étiez un homme (Profil, Avatar ) et ç'm'a bien perturbé. Et pi j'dois avouer qu'j'ai pas lu vot' précédent parchemin mais il semblait plutôt semblable 'fin, j'vous accuse de rien comme j'l'ai dit, j'demande qu'des précisions.

Et puis, votre sortie comporte autant de faute que tout le reste de votre texte ensemble. De plus ce sont des fautes que vous ne faisiez pas auparavant. Enfin, vous m'permetterez de douter quand même. Faute de quelque chose de plus sérieux, je ne demande que des précisions sur les faits énumérés plus tôt. Merci.

[/HRP]

'Fin bref, bonne chance quand même, j'attend viv'ment tes réponse a mes interrogations!

Sa réponse terminée le Iop quitta la maison, l'air songeur... Probablement un air forcé...

Après une longue nuit de sommeil, Floflo décida d’aller voir si un mercenaire Eldrigan lui avait répondu. Il y en avait un, qui lui avait répondu, un dénommé Hanyoru. Elle prit sa plume de tofu et griffonna sur un morceau de parchemin.

[HRP]

Bonjour, Je vais donc éclaircir ton avis sur moi. Tout d’abord concernant la date à laquelle, Floflo est née, je ne savais pas actuellement la date dans le jeu.(Merci de m’avoir signalé cette erreur.) Ensuite en ce qui concerne l’avatar, le profil, et le personnage, je vais tout t’expliquer. Mon avatar est celui pour le forum donc pas celui dans le jeu ; et dans mon profil il est marqué que je suis un homme, ce qui est exact et confirmé dans la partie HRP de ma candidature. Mon personnage dans Dofus est une iopette, et jusqu’à preuve du contraire il n’est pas stipulé dans la charte du jeu Dofus qu’un homme ou une femme n’as pas le droit d’incarner un personnage du sexe opposé. De plus niveau graphisme, je préfère nettement la iopette au iop. Ce qui explique pourquoi j’ai choisi d’incarner une iopette au lieu d’un iop. Après chacun ses goûts. Enfin au niveau de l’orthographe, excuse moi je te prie. J’avais pourtant relu plus d’une fois, mais il faut dire que ma candidature est quand même d’une longueur considérable et que je n’ai pas forcément vu toutes les fautes. J’ai donc relu et corrigé celles dont je ne m’étais pas aperçu.

Cordialement,
Floflo.

[HRP]

Elle prend un petit morceau de ficelle de lin, noue le parchemin et l’accroche au panneau, en espérant avoir pu éclairer Hanyoru sur les questions qu’il lui avait posé.

Après une dure journée de labeur, Floflo eut enfin le temps de pouvoir s’attarder à ses loisirs. Mais une chose avant tout la préoccupait avant ses loisirs. Est- ce que un mercenaire avait répondu à sa candidature ?

Floflo s’empressa donc d’aller à la maison des mercenaires. Elle marchait d’un pas lent. La journée avait été longue pour Floflo : cueillir des plantes pour faire des potions, pétrir la pâte à pain, essayer de sortir indemne des combats contre de monstrueuses bêtes… Elle entra cependant d’un pas déterminé dans la maison des mercenaires. Il n’y avait pas grande activité en ce début de soirée et elle n’eut pas de mal à atteindre le panneau des candidatures qui était dans la salle commune de la maison des mercenaires.
Une fois devant le panneau, elle fut surprise de ne pas trouver sa candidature. Elle la chercha et la trouva au bout de quinze minutes. D’autres candidatures avaient étaient mises au-dessus de la sienne, c’est pour quoi elle ne l’avait pas trouvait toutde suite. Elle remit donc sa candidature au-dessus des autres candidatures car elle ne voulait pas que cette dernière tombasse dans l’oubli. Elle sortit ensuite de la maison en disant bonsoir aux quelques personnes présentes.

[HRP]

J'ai bien peur que je tombasse dans l'oubli. Je remonte donc ma candidature.

[HRP]

[HRP]
Je reste dubitative. Cette candidature est en effet belle mais le plagiat précédent me reste en travers de la gorge et je me demande d'ou vient cette nouvelle production.

Les réponses suivantes laissent deviner une certaine maitrise de l'expression écrite. Est tu bien seul a nous répondre ? ou te fais tu aider ?

Cordialement
Toxus

[/HRP]

[HRP]
Je vous le dis à toutes et à tous, je suis honteux d'avoir plagié, veuillez me le pardonner encore une fois. Mais de là à dire que j'ai encore plagié, c'est faux. Prenez tout votre temps si vous voulez vérifier mes propos mais vous vous rendrez compte par vous-même que je n’ai copié personne et que cette production est entièrement personnelle.

Concernant ton doute Toxus, je suis bien seul à répondre, et je ne reçois aucune aide de personne. C’est même plutôt l’inverse j’aide de temps en temps mon frérot concernant les fautes d’orthographes et la rédaction (syntaxe, grammaire…etc). Et pour info je suis en Terminal S. J’ai eu mon bac français haut la main (je ne dirai pas mes notes, pas la peine de vous embêter plus). Donc oui (sans me vanter) j’ai une certaine maitrise de la langue française =). De plus vu que cette année il y a la philosophie, qui a remplacé le français, et le BAC étant quand même un examen de rédaction mieux vaut savoir écrire et rédiger.

Voilà, sur ce, j’espère fortement devenir un des vôtres.

P.S. : Hanyoru ne répond jamais ?

Cordialement,
Terreur, alias Floflo.
[HRP]

[HRP]

Hep'

Ben que veux-tu comme réponse si ce n'ait que je doute encore.
'Fin bref après... ''Tant en tant'' pour quelqu'un avec un bac en français...
Et a la fin, j'suis peut-être un peu trop suspicieux, voir paranoïaque...
Enfin, je laisse le soin a Toxus d'en juger.

Bonne chance quand même.

[HRP]

[HRP]

Je peux croire que tu doutes encore Hanyoru, tu as tes raisons. De plus merci d’avoir fait remarquer la faute d’orthographe qui a été corrigée. Mais bon ce n’était quand même pas la peine de critiquer autant pour une faute d’orthographe ; comme on dit l’erreur est humaine et cela arrive de faire quelques fois une faute et de ne pas s’en rendre compte.

Merci pour l’encouragement.

Cordialement,
Terreur alias Floflo.

[HRP]

Pour

[HRP]
Bien sur, si ce texte à été plagié... Cela mériterai un refus.
[/HRP]

Après une soirée plutôt ennuyante : Floflo ne trouva que quelques bouftous, tournesols sauvages et autres créatures de la même banalité ; elle entra dans la maison des mercenaires.
Elle salua les quelques Eldrigans encore présents car il était déjà tard. Et elle avait grande envie d’allai se coucher. Quel ne fut pas sa surprise lorsqu’elle vit que Ayra’ lui avait répondu et en plus avait mis…un POUR.

MERCIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!! énormément pour cet encourageant et premier POUR. Il me maque les mots pour t’exprimer ce que je ressens. Encore merci.

Sur ce Floflo sortit de la maison tout en sautillent d’un pas joyeux.

Cordialement ~~et très enthousiasmée,~~
Floflo.

[HRP]

Je vous le redis, je n’ai pas plagié. Vérifiez-le mais vous ne trouverez rien.

[HRP]

[HRP]

Je up, car je ne sais pas si vous m'avez oublié et je voudrais bien devenir l'un des vôtres.

Cordialement,
Terreur alias Floflo.

[HRP]

Invité

Bon, au vu de la persévérance de ce candidat, je vote POUR.

[HRP]

Peut être que cette candidature est plagiée, peut être pas. Faute de preuves pour le plagiat, le bénéfice du doute et l'idée qu'il ait compris la leçon me font aujourd'hui donner ce jugement favorable. J'espère ne pas me tromper.

[/HRP]

Une dure journée attendait Floflo, mais il fallait tenir bon. C’était bientôt les vacances et Floflo aurait tout le temps nécessaire pour se délasser. Elle accomplit comme il se du ses tâches journalières qui lui étaient confiées. Puis vint la fin de journée…

Elle alla d’un bon pas au zap près des plaines rocheuses pour se rendre à Astrub. La place marchande était remplie de gens de tout horizon. Floflo évita avec des réflexes de Moon tous les passants pour se diriger le plus rapidement possible vers la maison des mercenaires. Elle ne trouva pas grand monde à cette heure-ci de la journée. Il faut dire qu’il n’était pas encore tard. Elle alla au panneau d’affichage des candidatures et quelle ne fut pas sa joie quand elle découvrit l’avis favorable que lui avait laissé le très respectable Daguers.

Elle prit la plus jolie plume qu’elle trouva sous sa main et répondit à celui-ci.

Citation :: Je te dis mille et mille fois MERCIIIIIIIIIII Daguers pour ton POUR si important à mes yeux. Tu verras tu ne t’es pas tromper sur mon compte.
~~Eldriganement (pense à voix haute) « euh non pas encore qu’est ce que je suis en train de dire là »~~ Cordialement,
Floflo.

Floflo noua son parchemin avec un bout de ficelle de lin qui lui restait et l’accrocha au panneau.

C'est avec un grand sourire et une pile de parchemins que Timemaster passa le seuil de la Maison des Mercenaires. Si ce dernier élément était désormais chose commune, le premier relevait quant à lui de l'exploit. Inquietés par ce soudain changement, certains Eldrigans lui adressèrent à peine un salut avant de franchir à leur tour la porte aux gonds usés, dans l'autre sens.
Les habitués de la demeure ne daignèrent pas quitter son ambiance chaleureuse et confortable (le Xélor les soupçonnait d'ordinaire de vouloir échapper à la pluie au-dehors) mais arquèrent leurs sourcils à la vue de l'expression enjouée de l'Eldrigan. Ce dernier, inconscient du trouble qu'il occasionnait, se dirigea prestement vers les candidatures jonchant la table de la Maison. Il acrocha une réponse à chacune d'entre elles, au moyen d'une Aiguille et, satisfait, disparut dans un nuage coloré.

"Floflo-vp,

C'est un parcours bien malheureux et empli de désillusions que tu nous dépeins. Tu es jeune, mais tu as visiblement pu te forger de nombreuses expériences. J'espère que celle que tu t'attends à vivre ici sera plus réjouissante ! Ta candidature est détaillée, bien que tes motivations y soient exprimées de manière très succinte.
Je te souhaite bon courage pour ton entretien.

Candidature de Floflo-vp [Acceptée] Pour12

Timemaster."

[HRP]
Suite à notre discussion, au refus de ta précédente candidature et aux remarques des autres Eldrigans, j'espère que le message est passé vis-à-vis du plagiat. Je ne te cache pas que cela ne nous a pas encouragés à venir voter sur cette candidature mais, puisqu'il s'agit vraisemblablement d'une production personnelle travaillée cette fois-ci, les Eldrigans t'accordent une "seconde chance" .
Au plaisir de te voir Mercen'Herbe !
[/HRP]

[i ]C’était enfin les vacances pour Floflo. Elles se faisaient attendre depuis déjà bien longtemps. Floflo se demandait même si ce n’était pas encore un vilain tour du dieu Xelor, qui tout le monde le savait bien, maniait le temps comme s’il maniait une aiguille. Mais l’essentiel se convint-elle c’est qu’elles étaient arrivaient ces vacances car Floflo était de plus en plus épuisée. La reprise est toujours dure dit-on. Ce n’était pas pour autant qu’elle ne passait jamais à la maison des mercenaires. Au contraire, le peu de forces qui subsistaient en elle, elle les gardait pour avoir l’énergie nécessaire de parvenir à la maison.[/i]

Aujourd’hui elle se rendit donc comme à son habitude à la demeure des mercenaires. En entrant elle s’enquit de saluer comme il se doit chacun d’entre eux, puis s’empressa d’aller jeter un petit coup d’œil aux candidatures. Daguers, Balayeur en chef (et il paraît qu’il y tient à son titre à ce qu’on m’a dit), lui avait donné son avis favorable vis à vis de sa candidature. Il ne manquait donc à Floflo qu’un seul et unique avis favorable et elle pourrait alors contacter un recruteur pour passer l’entretien qui serait décisif quant à son acceptation au sein du clan.
Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle vit que c’était le très sage et honorable Timemaster qui lui avis donner son avis favorable.

Citation :: Il existe de nombreux mots sur Terre pour vouloir dire à une personne combien on peut lui être reconnaissante. Mais on m’a toujours dit que parfois il valait mieux exprimer ce que l’on ressentait par des mots simples et courts….
MERCI !!!!!!!!!!!!! tout simplement ~~et surtout très excitée~~ Timemaster pour ton POUR.

Floflo.

[HRP]

Je remercie mille et mille fois encore les Eldrigans qui m’ont accordés une seconde chance.

[/HRP]

Pressé d'aller se glisser sous sa couette, fatigué des montagnes de parchemins raturés, gribouillés, griffonnés de toutes parts à apprendre, Xbeubeu n'eut pas le courage de laisser un long message à la dernière candidature, et se contenta donc de quelques mots.

"Avis favorable, et comme tu l'as dis, nous t'offrons une seconde chance. Cependant, je me ferai un malin plaisir de te surveiller de près si tu passes ton entretien! Gniark gniark"

Puis, pour ne pas effrayer l'inconnu plus très inconnu après ce parchemin, il rajouta en tout petit quelques caractères :
"P'tite blague, tu seras certainement plus souvent que moi à la Maison des Mercos en ces temps pour ma part très studieux. Bonne chance pour l'entretien, Dag', c'est un tueur."

[HRP]

Merci pour tes conseils Wink

[/HRP]

Candidature de Floflo-vp [Acceptée] Pour10

Si tu réussis ton entretien je serais ton ombre. Je ne laisserais personne ne pas être droit dans le clan.

Bonne chance.

Toxus

[HRP]

Merci =)

[/HRP]

La cervelle gelée, Hanyoru n'avait pas le coeur a l'écriture, il laissa donc qu'un petit papier avec un petit dessin ( VACHEMENT JOLI!) derrière lui.

Candidature de Floflo-vp [Acceptée] Yahou_12

(Pourquoi pas opter pour l'originalité...)

Floflo regarda avec beaucoup d'attention le zolie dessin d'Hanyoru.

[HRP]

En effet c'est très très original. =)

[/HRP]

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée